La Guinée Équatoriale est frappée de plein fouet par un scandale sexuel au sommet de l’État. Dans l’espace cybernétique de plusieurs pays pays d’Afrique Centrale, les débats sont cristallisés sur les vidéos érotiques de Baltasar Ebang Engonga, directeur de l’Agence National d’Investigation Financière.
Dans les vidéos en circulation sur la toile, rien qu’en regardant la kyrielle de femmes passées dans le laboratoire de Baltasar Ebang Engonga, on peut bien se dire qu’aucune femme n’a sa place assurée auprès du haut commis de l’État Équato-guinéen. Au bureau, dans les chambres d’hôtel, à la plage, dans les toilettes, Baltasar prend du plaisir avec pratiquement tout calibre de femmes y compris les gravides. Les commentaires fusent de partout sur l’espace cybernétique sous-régionale et les internautes sont de plus en plus investis à partager les informations au tour de cette actualité qui remet sur la table la question de l’éthique et de la morale dans la société et en milieu professionnel. Pour certains internautes Camerounais, « des Baltasar, il y en a assez dans nos sociétés, juste que chez le voisin Équato-guinéen, les vidéos ont été diffusées »
La cellule Familiale en peril
Ce scandale sexuel met a rude épreuve plusieurs familles Équato-guinéennes. En effet plusieurs femmes impliquées dans les vidéos sont mariées et mères d’enfants, une situation qui n’est pas sans conséquence sur l’harmonie et la stabilité de la cellule Familiale. Le personnage principal étant lui-même marié et père d’enfants, ces vidéos peuvent plonger sa famille dans un état de dépression. En attendant le dénouement de cette affaire qui secoue les hautes sphères de la Guinée Équatoriale et même de la CEMAC, Baltasar Ebang Engonga reste l’homme le plus célèbre des réseaux sociaux en Afrique Centrale pour le moment.
Article rédigé par Valdo SIEWE

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Merci pour votre avis sur notre titraille. C’est un choix éditorial. Nous sommes désolés si ça vous a heurté la sensibilité
Vous m’avez tué avec ce titre les gars
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